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Élection consulaire 2021 : Moussa Traoré, la solution pour l’émergence des bureaux d’études dans la Région du Centre

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Moussa Y Traoré est un ingénieur en génie civil titulaire d’un master 2 en passation de marché et un master 2 en management stratégique directeur général de « FASO KANU DEVELOPPEMENT » et « FASO KANU AGRO INDUSTRIE » présent dans cinq pays d’Afrique. Il est candidat aux élections consulaires du 14 novembre prochain dans la catégorie bureaux d’appui conseils aux entreprises au compte de la région du Centre (Kadiogo).

C’est un homme bien connu dans le milieu des affaires au Burkina Faso et dans le monde. Il est pétri de talents de par son expérience et son savoir-faire. Il fut un fonctionnaire de l’Etat Burkinabé pendant huit ans avant de décider de voler par ses propres ailes. C’est ainsi qu’il va créer son entreprise FASO KANU qui, aujourd’hui est devenu une référence dans la sous-région et  dans le monde entier.

Lors de son premier mandat malgré le contexte difficile du pays à savoir le problème sécuritaire et la pandémie  du COVID-19. (C’est le lieu pour le candidat de saluer les FDS qui veillent au quotidien afin que le Burkina Faso retrouve sa quiétude d’antan). Pour le candidat, la paix et la sécurité sont  déterminantes  pour la prospérité des affaires.

Le président de la délégation consulaire du centre avec son vice-président Moussa Traoré  ont travaillé à réorganiser le système de fonctionnement à la chambre consulaire du Burkina par des actes concrets. A titre d’exemples, ils ont initié des formations  en matière de gestion, de comptabilité, d’hygiène, et des méthodes d’approches professionnelles, ils ont en outre créé une microfinance qui avait pour cible les couches vulnérables. Une première fois dans l’histoire de la chambre de commerce et d’industrie du Burkina. En plus, l’équipe a travaillé à intégrer toutes les six communes de la province et chacune a pu se positionner de façon spécifique dans un domaine bien déterminé. C’était un mandat de rupture,  ils ont  aussi travailler a  changer certaines habitudes pour une alternance démocratique d’où l’idée de limiter le nombre de mandats.

Selon Moussa Traoré, la chambre de commerce et d’industrie est la faîtière des affaires au Burkina. « Si vous n’êtes pas dans ce cercle organisé, votre chance est très minime pour faire valoir vos compétences à l’extérieur. Par ailleurs, il faut que la composante soit animée par des gens issues de ce milieu notamment en bureau conseils pour les entreprises ».
Une fois élu au soir du 14 novembre 2021, le candidat Moussa Traoré pense réorganiser le domaine par un regroupement de tous les prestataires, les bureaux conseils et tous les acteurs clé de la chaîne. « Le manque d’organisation, est dû à la méconnaissance des droits du prestataire du domaine. Nous qui devons conseiller si nous ne connaissons pas nos droits et nos prérogatives comment allons-nous aider les autres ? ».


Moussa Traoré s’engage à travailler pour que chacun de son côté puisse savoir son rôle exact à jouer dans le processus pour que la chambre de commerce et d’industrie du Burkina ne soit pas uniquement pour les commerçants mais aussi pour les autres services qui pourront aussi défendre leurs droits et leurs intérêts.
Dans un monde ou y a trop de mutations, les outils de la nouvelle technologie ne seront pas en reste. Il va intégrer les nouvelles technologies de l’information pour pouvoir avoir des partenariats avec des grands bureaux au bonheur de tout le monde.
Le candidat Moussa va aussi collaborer avec les jeunes opérateurs du domaines  afin qu’ils puissent emboiter leur pas rapidement. A propos il dit ceci, « il faut qu’on mette leur pied à l’étrier, nous comptons faire de telle sorte à ce que la jeune génération soit dans le domaine parce que c’est elle le fer de lance de demain. Nous sommes le deuxième employeur après l’Etat. L’inclusion de la jeunesse va permettre de bien dynamiser et révolutionner le domaine qui va nous aider à faire face avec les réalités du marché et créer des emplois ».
Les grands axes de son programme seront aussi de travailler pour la consolidation des prestataires intellectuelles dans le travail. Cela consiste à mettre à place un suivi pour que si un travail est mal fait qu’on sache rapidement d’où vient le problème et situer les responsabilités.


Pour lui le Burkina Faso est un pays en voie de développement et possède tous les atouts. Cependant il convient de constater que souvent on fait appel aux experts internationaux dont les compétences ne sont pas meilleures que celles des experts burkinabés, mais qui viennent immédiatement prendre le marché sans associer un bureau d’étude national. A ce niveau une fois élu il va travailler en symbiose avec l’Etat pour que si ce genre de situation se présente, que le bureau étranger cède une part de la prestation aux bureaux nationaux.
Sur la fiscalité le candidat Moussa Traoré une fois qu’il aura brigué ce deuxième mandat va entamer des discussions avec l’administration fiscale pour l’élargissement de l’assiette fiscale en vue de réduire la pression fiscale sur les structures normalisées pour que les niches fiscales n’échappent plus. Il va aussi travailler a exonéré les jeunes bureaux de trois (03) ans à partir de leur création, permettre aux retraités de crée des bureaux à partir de leur retraite qui seront évalués sur les compétences du créateur.


En cas de retard de paiement il va œuvrer à ce qu’on relève les taux d’intérêts moratoires afin d’obtenir une égalité au niveau des intérêts.
Sur la base de toutes les réalisations sur le mandat écoulé et le programme très ambitieux et alléchant proposé, Moussa Traoré lance un appel vibrant au militants et sympathisants à lui renouveler leur confiance le dimanche 14 novembre prochain.

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